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 Union de l'âme et du corps

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jean-pierre Abel




Messages : 1315
Date d'inscription : 04/05/2018
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MessageSujet: Union de l'âme et du corps    Union de l'âme et du corps  Icon_minitimeVen 8 Avr - 9:40

Je vous propose la lecture du message suivant : Union de l'âme et du corps : Le Livre des Esprits, Allan Kardec proposé par doctrinespiritenimes.over-blog.com, le, 7 Avril 2022 Rédigé par Un spirite Publié dans #Allan Kardec, #Centre Spirite, #Croyance, #Doctrine Spirite, #Médiumnité, #Philosophie Spirite, #Réincarnation, #Science, #Spiritisme
(PS) Les publications que je fais se trouvent également sur le forum https://divulgation-spirite.forumactif.org/ pour la simple raison qu’ils sont disponibles plus facilement et plus longtemps, et peuvent bien sûr être partagé, le but étant d’atteindre le plus grand nombre d’intéressés possible. Si il y a un problème qui m’échappe faites le savoir, d’avance merci.
UNION DE L'AME ET DU CORPS : LE LIVRE DES ESPRITS, ALLAN KARDEC
344. A quel moment l'âme s'unit-elle au corps ? « L'union commence à la conception, mais elle n'est complète qu'au moment de la naissance. Du moment de la conception, l'Esprit désigné pour habiter tel corps y tient par un lien fluidique qui va se resserrant de plus en plus jusqu'à l'instant où l'enfant voit le jour ; le cri qui s'échappe alors de l'enfant annonce qu'il fait nombre parmi les vivants et les serviteurs de Dieu. »
345. L'union entre l'Esprit et le corps est-elle définitive du moment de la conception ? Pendant cette première période, l'Esprit pourrait-il renoncer à habiter le corps désigné ? « L'union est définitive, en ce sens qu'un autre Esprit ne pourrait remplacer celui qui est désigné pour ce corps ; mais comme les liens qui l'y tiennent sont très faibles, ils sont facilement rompus, et ils peuvent l'être par la volonté de l'Esprit qui recule devant l'épreuve qu'il a choisie ; mais alors l'enfant ne vit pas. »
346. Qu'arrive-t-il, pour l'Esprit, si le corps qu'il a choisi vient à mourir avant de naître ? « Il en choisit un autre. » - Quelle peut être l'utilité de ces morts prématurées ? « Ce sont les imperfections de la matière qui sont le plus souvent la cause de ces morts. »
347. De quelle utilité peut être pour un Esprit son incarnation dans un corps qui meurt peu de jours après sa naissance ? « L'être n'a pas la conscience de son existence assez développée ; l'importance de la mort est presque nulle ; c'est souvent, comme nous l'avons dit, une épreuve pour les parents. »
348. L'Esprit sait-il d'avance que le corps qu'il choisit n'a pas de chance de vie ? « Il le sait quelquefois, mais s'il le choisit pour ce motif, c'est qu'il recule devant l'épreuve. » 349. Lorsqu'une incarnation est manquée pour l'Esprit, par une cause quelconque, y est-il suppléé immédiatement par une autre existence ? « Pas toujours immédiatement ; il faut à l'Esprit le temps de choisir de nouveau, à moins que la réincarnation instantanée ne provienne d'une détermination antérieure. »
350. L'Esprit une fois uni au corps de l'enfant, et alors qu'il n'y a plus à s'en dédire, regrette-t-il quelquefois le choix qu'il a fait ? « Veux-tu dire si, comme homme, il se plaint de la vie qu'il a ? S'il la voudrait autre ? Oui ; s'il regrette le choix qu'il a fait ? Non ; il ne sait pas qu'il l'a choisie. L'Esprit, une fois incarné, ne peut regretter un choix dont il n'a pas conscience ; mais il peut trouver la charge trop lourde, et s'il la croit au-dessus de ses forces, c'est alors qu'il a recours au suicide. »
351. Dans l'intervalle de la conception à la naissance, l'Esprit jouit-il de toutes ses facultés ? « Plus ou moins suivant l'époque, car il n'est pas encore incarné, mais attaché. Dès l'instant de la conception, le trouble commence à saisir l'Esprit averti par là que le moment est venu de prendre une nouvelle existence ; ce trouble va croissant jusqu'à la naissance ; dans cet intervalle, son état est à peu près celui d'un Esprit incarné pendant le sommeil du corps ; à mesure que le moment de la naissance approche, ses idées s'effacent ainsi que le souvenir du passé, dont il n'a plus conscience, comme homme, une fois entré dans la vie ; mais ce souvenir lui revient peu à peu à la mémoire dans son état d'Esprit. »
352. Au moment de la naissance, l'Esprit recouvre-t-il immédiatement la plénitude de ses facultés ? « Non, elles se développent graduellement avec les organes. C'est pour lui une nouvelle existence ; il faut qu'il apprenne à se servir de ses instruments ; les idées lui reviennent peu à peu comme chez un homme qui sort du sommeil et qui se trouve dans une position différente de celle qu'il avait la veille. »
353. L'union de l'Esprit et du corps n'étant complète et définitivement consommée qu'après la naissance, peut-on considérer le foetus comme ayant une âme ? « L'Esprit qui doit l'animer existe en quelque sorte en dehors de lui ; il n'a donc pas, à proprement parler, une âme, puisque l'incarnation est seulement en voie de s'opérer ; mais il est lié à celle qu'il doit posséder. »
354. Comment expliquer la vie intra-utérine ? « C'est celle de la plante qui végète. L'enfant vit de la vie animale. L'homme possède en lui la vie animale et la vie végétale, qu'il complète à la naissance par la vie spirituelle. »
355. Y a-t-il, comme l'indique la science, des enfants qui, dès le sein de la mère, ne sont pas nés viables ; et dans quel but cela a-t-il lieu ? « Ceci arrive souvent, Dieu le permet comme épreuve, soit pour les parents, soit pour l'Esprit désigné à prendre place. »
356. Y a-t-il des enfants mort-nés qui n'ont point été destinés à l'incarnation d'un Esprit ? « Oui, il y en a qui n'eurent jamais un Esprit destiné pour leur corps : rien ne devait s'accomplir pour eux. C'est alors seulement pour les parents que cet enfant est venu. » - Un être de cette nature peut-il venir à terme ? « Oui, quelquefois, mais alors il ne vit pas. » - Tout enfant qui survit à sa naissance a donc nécessairement un Esprit incarné en lui ? « Que serait-il sans cela ? Ce ne serait pas un être humain. »
357. Quelles sont, pour l'Esprit, les conséquences de l'avortement ? « C'est une existence nulle et à recommencer. »
358. L'avortement volontaire est-il un crime, quelle que soit l'époque de la conception ? « Il y a toujours crime du moment que vous transgressez la loi de Dieu. La mère, ou tout autre, commettra toujours un crime en ôtant la vie à l'enfant avant sa naissance, car c'est empêcher l'âme de supporter les épreuves dont le corps devait être l'instrument. »
359. Dans le cas où la vie de la mère serait en danger par la naissance de l'enfant, y a-t-il crime à sacrifier l'enfant pour sauver la mère ? « Il vaut mieux sacrifier l'être qui n'existe pas à l'être qui existe. »
360. Est-il rationnel d'avoir pour le foetus les mêmes égards que pour le corps d'un enfant qui aurait vécu ? « Dans tout ceci, voyez la volonté de Dieu et son ouvrage ; ne traitez donc pas légèrement des choses que vous devez respecter. Pourquoi ne pas respecter les ouvrages de la création, qui sont incomplets quelquefois par la volonté du Créateur ? Ceci entre dans ses desseins que personne n'est appelé à juger. »
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