Bonjour tout le monde,
Je vous propose la lecture la lecture du message suivant: PUISSANCE DE LA VOLONTÉ CHEZ LES ÊTRES INFÉRIEURS tiré de SCIENCE ET MORALE DE LA PHILOSOPHIE SPIRITE COMMUNICATIONS DES ESPRITS OBTENUES PAR Mme. W. KRELL proposé par doctrinespiritenimes.over-blog.com, le 14 Octobre 2020, Rédigé par Un spirite dans #Allan Kardec, #Centre Spirite, #Croyance, #Doctrine Spirite, #Médiumnité, #Philosophie Spirite, #Réincarnation, #Science, #Spiritisme
Bonne lecture.
Jean-Pierre
DÉCEMBRE 74
D. — Un être mauvais peut-il suffisamment agir sur les fluides pour nuire à son semblable par le seul fait de sa volonté propre ?
R. — Oui et non. Oui, en ce qui concerne le désir de faire le mal ; non, en ce qui concerne le pouvoir de le faire à son gré.
Oui, car son désir, sa volonté agissent sur les fluides et les font mouvoir ; non, car l’être mauvais n’a pas la liberté, la clairvoyance, la puissance nécessaire pour la diriger à coup sûr ; l’esprit arriéré dont il est question dans la demande que vous faites n’a pas le droit d’agir, à son gré, sur les fluides, il ne possède pas la puissance ; cependant cet esprit peut, par suite d’études et d’essais, avoir acquis une connaissance assez grande de ces fluides qui peuvent encore être classés parmi ceux que nous appelons matériels. Dans ce cas, mettant sa volonté au service de ses passions, il essaiera de nuire à son semblable et il réussira quelquefois, soit en agissant sur le cerveau de son ennemi entassant autour de lui les pensées mauvaises, soit en fatigant son organisme par des combinaisons malsaines avec la partie matérielle des fluides qui entourent l’individu.
Les cas d’obsession le prouvent, mais ils sont assez rares pour que j’établisse en règle générale que les désirs mauvais d’un être ne sont que par exception suivis d’effet.
Vouloir, oui, l’esprit mauvais peut toujours vouloir le mal, mais pouvoir le faire est plus rare ; tandis que l’esprit avancé possédant la volonté puissance peut toujours, lorsqu’il veut ; son désir est toujours suivi d’effet.
Considérez donc l’esprit qui, par sa volonté, dirige sur son semblable les fluides mauvais, comme instrument poussé par une force dont il n’a pas conscience, ou comme un être désobéissant.
Ainsi l’esprit peut nuire par son désir, car le désir amène de mauvais fluides, et ces fluides deviendraient nuisibles, s’ils ne rencontraient sur leur passage des barrières neutralisantes. Ces barrières sont tantôt des fluides spirituels, propriété acquise de l’être attaqué, l’enveloppant d’un manteau fluidique impénétrable ; tantôt une protection spirituelle émanant d’esprits supérieurs à l’être et placés près de lui par la prévoyante bonté du Créateur comme protecteurs et gardiens.
Ces forces fluidiques sont contenues par des lois immuables, comme les lois de la nature. Les esprits qui veulent enfreindre ces lois subissent la peine de leur désobéissance, absolument comme les hommes qui n’écoutant que leurs passions veulent se soustraire aux lois générales établies pour maintenir l’harmonie.
Un esprit qui se venge, en martyrisant un incarné par une obsession douloureuse, se met en dehors de la grande loi d’amour et de pardon ; il désobéit au Créateur qui aime et pardonne sans cesse, il manie les fluides qui se nomment haine et les combinant avec les fluides habituels de sa victime, il en fait un être souffrant pendant tout ou partie de son existence.
J’insiste, pour que vous voyiez en toute chose la divine justice, sur les barrières spirituelles résultant de la moralité, de la supériorité ; ou barrières de protection et d’amour fraternel, placées autour d’êtres faibles et non condamnés à l’épreuve épouvantable de l’obsession, etc.
Il résulte de ceci que, quand je dis volonté puissance, j’accorde à ce mot toutes les qualités inhérentes, et entrant complètement dans la sphère spirituelle, je me rapproche en quelque sorte de la divinité dont la puissance infinie ne peut exister qu’appuyée sur la bonté, la justice, la vérité infinie, l’amour sans fin et sans borne !
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